Ce post fut lu 9779 fois depuis sa publication
J’etais dans la boue depuis plusieurs heures dorenavant. Trop fatigue et apeure, je n’osais pas bouger. Mon pere n’etait pas revenu me voir, ainsi, mon frere quant a lui m’avait simplement lance une minuscule chaussette rose, qu’il m’avait dit de mettre par-dessus ma cage de chastete Afin de cacher ce qu’il appelait 1 clito, mon minuscule penis. Depuis, j’etais reste seul. Le soleil commencait a se coucher, je commencai alors a me relever pour tenter de convaincre mon pere de me laisser rentrer. Mais je n’eus nullement moyen de me lever, mon frere etait passe par-derriere. J’eus juste moyen de reconnaitre ses grosses bottes de cuir noires, ainsi, il me mit un sac en toile de jute sur la tete. J’entendis la porte de la maison s’ouvrir, mon pere l’avait en general retrouve. Je fus baillonne, ligote, souleve puis assomme.
Je repris doucement mes esprits. Je ne savais nullement ou j’etais, mais j’entendais un bruit qui me semblait familier, un bruit de moteur. Je ne pouvais gui?re bouger mes membres, j’etais totalement ligote, et je ne voyais que dalle. J’avais peur, mais je ne voulais nullement decevoir mon pere. Sous moi, il y avait votre renfoncement, avec quelque chose dedans. Une roue de secours. Alors tout me semblait net : J’etais au coffre une voiture du pere. Nous etions dimanche, le jour ou lui et mon frere jouent souvent avec leurs amis au rugby, sport auquel je n’avais jamais participe sous pretexte que je n’aimais pas ca, aussi que je ne voulais simplement pas venir deranger des males dans l’expression une virilite qu’est votre sport. Ils avaient peut-etre cru que je m’enfuirais s’ils me laissaient seul, ainsi, avaient donc prefere m’emmener. Pourtant, ils auraient pu simplement m’attacher a une chaine comme le chien. Ils devaient avoir une autre idee en tronche.
La voiture s’arreta, le coffre s’ouvrit et je fus traine partout par le collier, j’essayais d’avancer a quatre pattes, mais la main qui me trainait, allait trop vite pour moi. Notre sol, couvert d’herbe grasse, ne me faisait gui?re tres mal, mais la plupart herbes plus hautes que d’autres me fouettaient et commencaient a i?tre douloureuses. J’entendis une a s’ouvrir, et alors mes doutes se confirmerent. L’odeur de sueur typique des vestiaires hommes me monta au nez, me confirmant que nous etions bel et bien au stade de rugby. Notre sol etait desormais un carrelage froid, ainsi, me faire trainer dessus est bien plus douloureux. J’entendis un bruit de chaine, je compris que la main qui me trainait, m’avait attache. Puis, j’entendis J’ai voix du pere appeler ses amis.
He, les gars ! Venez voir
Mes aucun l’equipe de rugby se firent entendre, puis j’entendis des sifflements, je compris que celui-ci m’etait destine. Une voix grave et virile se fit entendre.
— Mohammed, c’est une excellente piece que t’as ramenee… On va lui faire sa fete a ce pede !
— Et i nouveau, t’as jamais bien surpris.
Notre sac via la tronche pantalon retire. Je reconnaissais aussi toutes les gens presentes, amis du pere ou de mon frere https://datingmentor.org/fr/xmeeting-review/ qui me connaissaient l’ensemble de depuis un moment.
— Putain ! Mais c’est ton gamin !
L’homme a J’ai voix virile s’appelait Karim. Cela avait 33 ans, etait marocain, grand et muscle, et etait considere par tous tel le chef une bande. Je l’avais toujours admire, tandis que lui ne s’etait jamais preoccupe de moi.
— Mohammed, tu sais bien que les pedes que tu nous ramenes ressortent pas d’ici en bon etat. C’est ton gamin, quand meme.
— Mon fils ? Mon fils s’appelle Kevin, et c’est un male. Ce pede-la, je le renie. Faites-vous plaisir, defoncez-le. Je vous ai jamais attendu, son cul est deja en sang.
Ce que Karim dit me surprit. Je n’etais nullement le premier pede que ces males allaient detruire, mon pere en ramenait, semblait-il, regulierement. A la reponse de mon pere, Karim sourit et commenca a se caresser l’entrejambe. L’ensemble des autres firent ainsi, Quelques meme n’avaient jamais hesite a sortir leur bite. En comptant mon pere et mon frere, i§a faisait 12 males qui ne voulaient qu’une chose : me violer et me faire en gali?re. Cela etait inutile de resister, et je n’en avais jamais le desir. Je voulais leur obeir comme un esclave. Un homme de la vingtaine d’annees s’approcha de moi, enleva mon baillon et me montra ses chaussures. Il me dit, en me regardant droit au sein des yeux :