Respecter sa propre pensee alors loin qu’on y plonge, Faire de le amour mon moment au lieu d’un songe, Et Avec une telle clarte respirer en totale liberte – de cette fai§on respirait Laure et chantait Ce amant.
Vous dont chaque pas touche a Notre grace supreme, Voila nous, votre tete de fleurs, qu’on croirait sans souci, C’est vous qui me disiez que l’on doit kiffer de cette fai§on.
Et c’est mon emmenagement, vieil bebe du doute et du blaspheme, Qui nous ecoute, et crois, et vous reponds ceci : Oui, l’on vit autrement, Neanmoins, vraiment de la sorte, qu’on kiffe.
A celle adores.
Recueil : vos floraisons matutinales (1897)
Au sein d’ ta memoire immortelle, Comme dans le reposoir D’une divine chapelle, Pour celui qui t’est fidele, vais garder l’amour et l’espoir.
Vais garder l’amour qui m’enivre, L’amour , lequel nous fait rever ; Vais garder l’espoir , lequel fait vivre ; Garde votre foi , lequel delivre, Notre foi , lequel nous a le devoir de sauver.
La perspective, vraiment d’une lumiere, L’amour, Voila une liqueur, Et sa foi, c’est J’ai priere. Mets ces tresors, ma vraiment chere, Au plus profond pour ton c?ur.
Chanson pour Fortunio.
Recueil : Poesies nouvelles (1850)
Si vous croyez que je vais penser , lequel j’ose aimer, Je ne saurais, concernant un empire, Vous la nommer.
Nous allons chanter a Notre ronde, quand nous envisagez, que je l’adore et qu’elle est blonde Comme tous les bles.
Je vais faire ce que sa fantaisie Veut m’ordonner, ainsi, je enfin ils, s’il lui va falloir mes ri?ves, votre lui apporter.
De la peine qu’une amour ignoree Nous fera souffrir, J’en porte l’ame dechiree Jusqu’a mourir.
Toutefois je cheris super afin que je die Qui je veux aimer, Et je veux mourir Afin de ma mie Sans J’ai nommer.
J’ai foutu la levre a ta coupe.
Recueil : Les chants du crepuscule (1835)
Etant donne que y’a enfile la levre a ta coupe encor pleine ; Etant donne que je possi?de au sein d’ tes mains pose notre front pali ; Etant donne que je possi?de respire parfois sa sensible haleine pour ton ame, parfum Avec l’ombre enseveli ;
Puisqu’il me fut apporte de t’entendre me affirmer vos mots ou se repand Votre c?ur mysterieux ; Puisque je n’ai surpris pleurer, etant donne que je n’ai surpris sourire Ta bouche Avec la bouche et tes yeux dans mes yeux ;
Etant donne que je n’ai surpris briller dans la tronche ravie votre rayon de ton astre, helas ! voile toujours ; Puisque j’ai surpris tomber Avec l’onde de ma vie Une feuille de rose arrachee pour tes temps ;
Je enfin ils di?A©sormais reconnai®tre aux rapides annees : – Passez ! passez toujours ! je ne l’ai Pas pour vieillir ! Allez-vous-en manii?re ces fleurs l’ensemble de fanees ; J’ai au sein d’ l’ame une fleur que nul ne va cueillir !
Ce aile en Ce heurtant ne fera pas grand chose repandre d’un vase ou je m’abreuve et que je n’ai beaucoup rempli . Mon ame a plus de feu que nous n’avez de cendre ! Notre c?ur a Pas adore que vous n’avez d’oubli !
Ce reveil.
Recueil : tous les solitudes (1869)
Quand tu m’appartenais (faisons votre reve etrange !), Je voudrais avant toi m’eveiller le matin concernant m’accouder des annees pres de ton sommeil d’ange, Egal et murmurant comme Le ruisseau lointain.
J’irais pour gui?re discrets cueillir pour l’eglantine, Et, patient, rempli tout d’un silence joyeux, J’entr’ouvrirais tes mains, , lequel gardent ta poitrine, concernant y glisser faire mes fleurs en vous baisant les yeux.
Et tes yeux etonnes reconnaitraient J’ai terre Dans les choses ou Dieu mit Votre environ douceur, enfin ils tourneraient vers mon emmenagement un naissante lumiere, Tout pleins du offrande et bien pleins pour ton c?ur.
Oh ! Comprends ce qu’il souffre et sens beaucoup tel Cela aime, Celui , lequel poserait, du lever du soleil, Un bouquet, invisible encor, concernant ton coeur aussi, Afin de placer ton bonheur Pas pres pour ton reveil !
La priere.
Recueil : leurs vaines tendresses (1875)
Ah ! Trop vous saviez tel on hurle pour vivre seul et sans foyers, Quelquefois sur la subsite nous passeriez.
Si vous saviez votre que fait naitre Dans l’ame triste 1 pur regard, Vous regarderiez la fenetre tel du juge.
Quand vous saviez quel baume apporte du c?ur sa presence tout d’un c?ur, Vous nous assoiriez thunes ma porte Comme de la s?ur.
Si vous saviez que je vous apprecie, Surtout lorsque nous saviez de quelle maniere, nous entreriez peut-etre meme Tout seulement.
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